Carol a grandi. Pour l'arracher à ses hantises, ses parents l'ont envoyée à Chicago, chez son oncle Bruce qui habite au somet d'une tour de verre et d'acier. Cette tour va devenir, par la présence de Carol, un passage dans l'au-delà où les esprits malfaisants attendent toujours la lumière qui leur doit apporter Carol. Cette fois c'est au travers des miroirs de Cocteau que les esprits se manifestent. Gary Sherman signe ici de jolis effets visuels dans les mirois et dans les bleus électriques. Mais ceci ne suffit pas pour sauver un scénario convenu. D'un épisode à l'autre c'est toujours la même histoire qui nous est racontée. Même les acteurs ont l'air de ne plus y croire.