Africa is / in The Future | Narratives of Alternative Futures
29/09 > 02/10/2021 du mercredi au samedi - PointCulture Bruxelles
Cet évènement est terminé !
Rencontres, concerts, projections, dj sets, expo, performances, Africa is / in the Future, le festival interdisciplinaire sur les contemporanéités africaines et diasporiques, est de retour pour une nouvelle édition.
Retrouvons-nous du 29 septembre au 02 octobre, à PointCulture, au cinéma Nova, à la Bellone et au Decoratelier pour partager d’autres imaginaires !
AIITF invite à changer de perspectives, à partir d’autres expériences, d’autres récits, d’autres esthétiques pour imaginer d’autres futurs possibles. Il y sera question de gaming postcolonial, de la club culture de Kam-pala à Berlin, de la production de bandes dessinées africaines, de représentations au sein de nos institutions culturelles. On vous parlera de l’expérience du racisme et de bifurcations possibles à partir des pensées africaines. On rencontrera des femmes activistes et entrepreneuses qui investissent leurs territoires avec des actions concrètes, et vous découvrirez une jeune scène artistique bruxelloise bouillonnante.
Le programme - [Et sur Facebook]
Jeu. 23/09
18h30-23h - Vernissage | Nyege Nyege : l’exposition
Évènement Facebook
Évènement PointCulture
PointCulture Bruxelles - Accessible gratuitement du mardi au samedi entre 11h et 18h à PointCulture jusqu’au 06 novembre
Originaire de Kampala en Ouganda, le collectif Nyege Nyege, à la fois incubateur artistique, communauté engagée, label indépendant et festival de musiques, pose ses valises au PointCulture Bruxelles pour une exposition interactive.
Afin d’augmenter la convivialité de chacun·e et de partager la soirée ensemble, sans masque ni fard, n’oubliez pas de présenter votre Covid Safe Ticket à l’entrée. Plus d’informations sur le Covid Safe Ticket : https://covidsafe.be/fr — -
Mer. 29/09
18h-20h - Table ronde | Décoloniser les arts : libérer les imaginaires, remodéliser la matière
La Bellone - entrée libre
𝘙𝘦́𝘴𝘦𝘳𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘪𝘯𝘥𝘪𝘴𝘱𝘦𝘯𝘴𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘷𝘪𝘢 𝘢𝘤𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭@𝘣𝘦𝘭𝘭𝘰𝘯𝘦.𝘣𝘦 𝘰𝘶 02/513.33.33
Rencontre autour de ce qui constitue la colonialité, au sein des institutions culturelles, dans les représentations, les méthodologies, l'acquisition des savoirs et des connaissances.
Qu'entendons nous par décoloniser ?
Une table ronde organisée en collaboration avec Culture & Démocratie.
Ayoko Mensah est une spécialiste des cultures et auteure franco-togolaise. Depuis 2016, elle travaille comme programmatrice d’artistes et conseillère institutionnelle au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles (BOZAR). Elle est diplômée en Management culturel (MA) de l'Université Paris-Dauphine, en Lettres Modernes (MA) de l'Université Sorbonne Nouvelle (Paris) et en journalisme (CFPJ, Paris).
Toma Muteba Luntumbue est un artiste et commissaire d'exposition congolais. Il vit actuellement à Bruxelles (Belgique) et travaille avec la sculpture, l'installation, le dessin, le son et la vidéo. Son art se concentre sur des représentations culturelles codifiées et des phénomènes idéologiques liés au concept d'identité, aux stéréotypes ou aux transformations auxquelles il est soumis : à partir de matériaux bon marché ou recyclés, Luntumbue explore les thèmes du nationalisme, du racisme, de l'individualisme, de l'identité, colonisation, décolonisation et migrations.
Étienne Minoungou est un comédien, conteur, metteur en scène, dramaturge burkinabé et aussi un entrepreneur culturel à Ouagadougou. Le Festival Les Récréâtrales qu'il a initié réunit une centaine d'artistes de plusieurs pays durant deux à trois mois lors de résidences d'écriture et de création théâtrales.
Marie Umuhoza se nourrit au quotidien de ses deux passions, les arts et les cultures, en se concentrant sur l’aspect social qui leur est inhérent. Avec une approche ingénue, elle tente de questionner les différentes intersectionnalités propres à ses expériences personnelles dans ces secteurs mais également celles qui se présentent dans la création, l’accès et le partage des cultures. Immergée dans le paysage culturel bruxellois depuis plusieurs années, elle y navigue toujours curieuse de découvertes et d’expériences. Après avoir poursuivi des études en journalisme et en gestion culturelle, elle met actuellement en pratique ses savoirs au sein de l’équipe de Decoratelier à Molenbeek en tant que coordinatrice.
Baobab van de Teranga est une artiste et intellectuelle polyforme, polyphonique et plurilingue engagée à transformer le réel par la coopération culturelle, technique et sans frontières. Sur terre, Baobab van de Teranga s’incarne dans un corps de femme dont la trajectoire est à la croisée de la Caraïbe et de l’Afrique de l’Ouest. Les pratiques artistiques du Baobab traduisent des réflexions en matière d’analyse des systèmes urbains, d’organisation collective et de Radical Black Feminism. Le Baobab est mobile et navigue entre Dakar, Saint-Louis et Bruxelles
Anne Wetsi MPOMA (Wetsi) she-her | President of Nouveau Système Artistique asbl
- Author of essay: Organiser la résistance dans les arts et la culture en contexte postcolonial belge in Being imposed upon edited by PubliekeActies, 2020
- Member of the first experts group consulted by the Belgian Federal Commission dedicated at analyzing the colonial past and its presence
- Interdependent art curator: Wetsi Gallery (since 2019), Europalia Trains & Tracks in Africa (March 2022), Festival Congolisation (June 2021)
Jeu. 30/09
18h-19h - Rencontre | Imaginer les bifurcations possibles à partir de l’Afrique-Monde
La Bellone
𝘙𝘦́𝘴𝘦𝘳𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘪𝘯𝘥𝘪𝘴𝘱𝘦𝘯𝘴𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘷𝘪𝘢 𝘢𝘤𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭@𝘣𝘦𝘭𝘭𝘰𝘯𝘦.𝘣𝘦 𝘰𝘶 02/513.33.33
Rencontre avec Séverine Kodjo-Granveaux presentée par Baobab van de Teranga
Si on partait des philosophies / pensées africaines et afro diasporiques pour imaginer de nouveaux possibles, pour concevoir une nouvelle manière d'être au monde en relation à l'autre, au « tout-vivant » ?
Séverine Kodjo-Grandvaux est philosophe, chercheuse associée au Laboratoire d’études et de recherches sur les logiques contemporaines de la philosophie de l’université Paris 8. Elle est l'autrice de Devenir vivants (Philippe Rey, 2021), Philosophies africaines (Présence africaine, 2013), prix Louis Marin de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, et elle a codirigé l’ouvrage Droit et colonisation (Bruylant, 2005). Séverine Kodjo-Grandvaux est commissaire scientifique de la Fabrique de Souza (Cameroun), un lieu de recherche et d’expérimentation qui réunit des scientifiques, des artistes, de jeunes chercheurs, des juristes, des agriculteurs pour concevoir et mettre en pratique une utopie active pensant l’humain dans son lien avec le vivant. Ancienne rédactrice en chef des pages culture du magazine panafricain Jeune Afrique, Séverine Kodjo-Grandvaux est actuellement journaliste pour le quotidien français Le Monde.
19h-20h - Parcours poétique
Évènement Facebook
!! Sur réservation : pointculture.be/ZZax !!
Départ de La Bellone, arrivée au Decoratelier
Avec et par Sékou Semega, Brandon Kano Butare, Milo Slayers, Monica Kamara, Marie Paule Mugeni, Joël Mpokufuri, Monsieur Rondo.
20h-1h - Soirée d'ouverture
Decoratelier - entrée libre
!! Sur réservation : pointculture.be/ZZax !!
Performances avec Soa Ratsifandrihana, Eli, Patrick Ahisha
Concerts avec Fabre Collective, ORIANA IKOMO
DJ set avec Bo Meng, Loumana
Ven. 1/10
Rencontre / Projection | Soirée avant-première
Cinéma Nova - Projection : 6€/4€
19h - Vernissage | expo BD africaines et afro-futuristes - Accessible gratuitement aux heures d’ouverture du Nova en octobre
20h - Rencontre | Joëlle Épée Mandengue, Carine Bahanag et Reine Dibussi
Ça bouge beaucoup du côté de la BD en Afrique et dans la diaspora africaine en Europe. Et là aussi, les évocations du futur et/ou de mondes parallèles sont présents. Joëlle Épée Mandengue, autrice de La vie d’Ébène, viendra exposer quelques planches et nous présenter avec force documents, la conséquente expo Kubini à Angoulême sur l’histoire, le présent et le futur de la bande-dessinée en Afrique.
Pour dialoguer avec elle et présenter leur BD Mulatako, Carine Bahanag et Reine Dibussi, fondatrices d’Afiri Studio, viendront exposer elles aussi leur travail, parler de leur expérience et de leur vision. La rencontre se déroulera en français.
22h - Projection - This is not a burial, this is a resurrection (L’indomptable feu du printemps) - Lemohang Jeremiah Mosese, 2019, LS, 122'
Mantoa est âgée, son fils a quitté le Lesotho humide et verdoyant et s’en est allé travaillé puis mourir brutalement dans une mine d’or sud-africaine. Il ne lui reste rien et elle aussi, voudrait mourir. Mais elle apprend qu’un barrage va être construit et engloutir le village, le cimetière, déplacer les vivants et effacer les morts. Elle va donc se remettre debout et tenter d’empêcher qu’un monde disparaisse. Lemohang Jeremiah Mosese propose un hallucinant voyage visuel, sensoriel, spirituel et engagé dans un film aux images, à la narration, au pouvoir et à l’ambition impressionnantes. Un vrai tour de force et une borne évidente du cinéma africain contemporain. Nous sommes éminemment heureux de pouvoir le présenter en avant-première belge pour Africa is/in the Future cette année !
Sam. 2/10
14h-15h30 - Rencontre | "Gaming postcolonial : décolonisation de l'art numérique et des jeux "
PointCulture Bruxelles - entrée libre
Rencontre avec Isabelle Arvers
Le projet Art Game World Tour a débuté en 2019 dans le but d'enquêter sur la décolonisation du monde de l'art et des jeux vidéo. Centré sur les zones marginalisées, il recherche des récits qui mettent en scène des personnages, des paysages et des scénarios qui se situent en dehors du circuit qui vient traditionnellement d'Europe, du Canada, des États-Unis et du Japon. Isabelle Arvers a interrogé des développeurs, des artistes, des militants, des créateurs de jeux vidéo et des conservateurs qui incluent des jeux dans leurs créations. Après un an de tournée dans le monde de l'art et des jeux du Sud, nous devrions plutôt parler de néo-colonialisme que de post-colonialisme, dans lequel le "soft power" des textes numériques joue un rôle énorme pour imposer une culture monopolistique. Mais une nouvelle génération d'artistes, d'activistes et de producteurs de jeux est en train d'opérer sa propre décolonisation : un nouveau monde est en train d'émerger et d'affirmer sa propre voix, cessant de travailler pour ou comme les autres, mais rappelant plutôt sa propre histoire, ses racines, ses croyances. La culture en réseau et les médias numériques facilitent la fusion de ces voix. Les plateformes en ligne, le crowdfunding et la collaboration peuvent être considérés comme des contre-stratégies pour utiliser tactiquement les objets de consommation de masse, en les piratant, en opérant un détournement, pour les transformer en moyens d'expression.
Isabelle Arvers est une artiste et commissaire d'exposition française dont les recherches portent sur l'interaction entre l'art et les jeux vidéo. Au cours des vingt dernières années, elle a étudié les implications artistiques, éthiques et critiques du jeu numérique. Son travail explore le potentiel créatif du piratage des jeux vidéo à travers la pratique du machinima. En tant que commissaire d'exposition, elle se concentre sur les jeux vidéo comme nouveau langage et comme moyen d'expression pour les artistes. En 2019, elle s'est lancée dans un tour du monde de l'art et des jeux dans les pays non occidentaux pour promouvoir la notion de diversité de genre, de sexualité et d'origine géographique, en se concentrant sur les pratiques queer, féministes et décoloniales.
16h-17h30 - Rencontre | Femmes actrices du monde et des territoires - En collaboration avec le festival Féministe toi-même et Café Congo.
PointCulture Bruxelles - entrée libre
Rencontre autour de trois femmes rayonnantes, dans tous les sens du terme - Passeuse de paroles : July Robert (La Maison du livre)
Entrepreneuses, artistes, chercheuses, résolument citoyennes : ce n’est pas qu’elles refusent le débat théorique, mais leur féminisme et leur militantisme, elles entendent l’incarner d’abord dans le concret des quartiers, par leurs activités et le rayonnement de leurs activités. Comment développer les territoires sans exclure les populations qui y vivent (souvent issues de l’immigration post-coloniale) ? Comment tenir compte des potentialités que ces populations, artisan·es et petits commerces apportent au territoire, développement local inclusif ? Comment implanter de nouvelles activités qui ne viennent pas concurrencer mais s'attachent à valoriser ce qui existe déjà ? Comment passer d’une mécanique de la relégation à l’invention d’un nouveau modèle d’auto-développement individuel, collectif et territorial?
Naky Sy Savané. Immense comédienne ivoirienne, Naky Sy Savané a tourné avec les plus grands réalisateurs africains, dont Ousmane Sembene Mooladé. Elle a fondé le festival Festilag en Côte d’Ivoire. Parallèlement à sa carrière artistique, elle milite activement pour l'émancipation des femmes. Elle a par exemple créé l'association Union des femmes du monde - Gams Sud à Marseille, qui lutte contre les violences sexuelles, dont l’excision.
Thérèse Basse. Avec l'Association des artisans et commerçants Marseille Belsunce (ACAM Belsunce), Thérèse Basse travaille à faire de ce quartier un peu oublié de Marseille un lieu attractif, résolument inscrit dans les enjeux sociétaux. Entre mille autres activités, elle a présidé aussi Zingha, une association qui lutte contre la discrimination en promouvant l’accès aux savoirs et le dialogue entre les cultures.
Gia Abrassart se définit comme journaliste culturelle et facilitatrice. Fondatrice de Café Congo, lieu de toutes les rencontres belgo-congolaises. Pour assurer le financement du projet, elle multiplie les initiatives, dont cette dernière : l’ouverture d’une boutique caméléon qui s’adapte à son environnement dans le quartier populaire des Marolles, à Bruxelles.
18h-19h - Expérience théâtrale | Le Sbeul
PointCulture Bruxelles - entrée libre
"On a l’Amour au cœur, une touche d’humour et une certaine expérience de la noblesse humaine, mais pour combien de temps ?
Cette question, quand le racisme a participé à façonner notre ligne de vie, il arrive qu'on la porte comme un boulet dont le frottement au sol ne fait que répéter à nos oreilles "Serre les dents, encore. Serre les dents, encore". Il est temps de s'alléger un peu, de trouver un geste, un partage, un échange entier et sincère tant envers nous même qu'envers toi."
Mise en scène : Jonathan Moncef Kibani Boussaleh
Assistanat à la mise en scène : Louise Moret
Distribution : Warda Rammach
Emma Gilles-Rousseau
Jean-Marc Judith
Edson Anibal
Scénographie : Guillaume Jacob
Lumière : Florentin Crouzet-Nico
A partir de 20h - Soirée rencontre/projection/concert/dj set | AFRICAN CLUB CULTURE
Cinéma Nova - 10€/8€ - PREVENTES AFRICAN CLUB CULTURE
Ten cities [Videoclips + rencontre en anglais]
Pour introduire cette soirée de danse et de découvertes, nous invitons l’Allemand Florian Sievers et le Nigérian Mudi Yahaya (en direct de Lagos sur notre écran) à présenter leur livre Ten Cities, sur l’histoire des dancefloors africains. Ils seront en discussion avec des représentants du Nyege Nyege festival avec qui nous organisons cette soirée. Ceux-ci présenteront leurs activités en Ouganda et ailleurs, l’expo photo au PointCulture Bruxelles et les artistes présents ce soir. Nous concoctons avec eux une sélection de clips récents pour lancer cette longue nuit..
Avec la participation de:
Florian Sievers est journaliste de formation en économie. Régulièrement il apporte sa contribution à des magazines traitant de business. Cependant il aime écrire au sujet de différentes expressions culturelles qu’il s’agisse d’architecture ou de musique. Il habite à Berlin et se montre un ‘clubber’ enthousiaste appréciant la scène électronique de la ville [de la techno à la Bass music] ainsi que différentes inclinaisons dont l’African Roots. Il a mené des recherches portant sur cette dernière se rendant dans différents centres urbains [De Lagos à Addis Abbeba]. A Berlin il a compilé le titre Mandarinenträume – Electronic Escapes from the Deutsche Demokratische Republik 1981-1989, un cd reprenant de la musique électronique produite en DDR. Il est aussi le co-auteur du livre Pop 16 – 100 Jahre Produzierte Musik. Il organise aussi une série de parties mettant en scène la musique électronique de différents pays africains. Il fut un des éditeurs du magazine Groove [magazine spécialisé dans la musique électronique et dans la culture club]. Régulièrement il contribue à Dummy, Enorm ainsi qu’au magazine culturel allemand Spex.
Mallam Mahammodu Mudi Yahaya est un auteur combinant activisme culturel, une activité d’artiste visuel mais aussi de photographe et de cinéaste. Comme artiste visuel les photos de Mallam Mudi vont des essais documentaires sociaux à la photo conceptuelle critique. Mallam Mudi travaille sans contrainte sur des sujets librement choisis. Il met l’accent sur la relation esthétique entretenue entre des images ainsi que la déconstruction post-coloniale et la décolonisation de l’identité africaine dans des espaces africains syncrétiques. Mallam Mudi est amoureux de musique noire africaine mais aussi de cinéma et de télévision.
Le collectif Nyege Nyege. En ougandais, Nyege Nyege exprime « le sentiment d’une envie soudaine et incontrôlable de bouger, de se secouer ou de danser ». À la fois label, incubateur et organisateur d’un des festivals les plus excitants du continent africain, le collectif du même nom est surprenant de spontanéité, d’intelligence et d’ouverture.
CONCERT | MC Yallah & Debmaster
On espère que tout se passe comme prévu dans les conditions que vous savez mais l’excitation est grande d’accueillir MC Yallah au Nova ! MC impressionnante et électrisante, elle propose depuis plusieurs années un flow de plus en plus étonnant, et sait, au gré de collaborations pertinentes, se réinventer constamment. La claque sera sonique et visuelle, tant elle sait par ses tenues et sa présence faire voyager le public dans ses univers hybrides. La soirée se terminera par deux DJs proposés par Nyege Nyege.
Concert en collaboration avec le Nyege Nyege festival
Une programmation réalisée par PointCulture, le cinéma Nova, la Bellone, le Goethe Institut Bruxelles, le Centre Librex, le festival « Féministe toi-même ! » en collaboration avec Decoratelier, le collectif Nyege Nyege et Café Congo.
Avec le soutien d’Africalia, du Goethe Institut Bruxelles et de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Les lieux
Cinéma Nova
Rue d'Arenberg 3 | 1000 Bruxelles
La Bellone
Rue de Flandre 46 | 1000 Bruxelles
Décoratelier
Rue de Manchester 17 | 1080 Bruxelles
PointCulture Bruxelles
Rue Royale 145 | 1000 Bruxelles
Visuel Benjamin Monteil & graphisme Giulia Florian
Où et quand
-
29/09 > 02/10/2021 du mercredi au samedi - PointCulture Bruxelles