FAMILY MAN
Si l’histoire vous rappelle quelque chose, c’est plus que probablement suite à la sortie du film beaucoup plus médiatique The Family Man avec Nicolas Cage dans le rôle principal, et qui
raconte la même histoire, mais du point de vue masculin. Le réalisateur, Brett Ratner, semble avoir oublié de mentionner au générique d’où lui est venue l’idée originale. Simple coïncidence peut-être.
Jack est célibataire, président d’une grosse compagnie, riche, propriétaire d’un superbe appartement dans les quartiers huppés de New York et tout à fait satisfait de sa vie. Il passe néanmoins le réveillon de Noël seul, soirée au cours de laquelle il va faire la rencontre d’un étrange messager céleste. Jack se réveille le matin de Noël dans une maison de la banlieue, avec une femme (qui est une ancienne petite amie), deux enfants et un chien.
S’il fallait choisir entre les deux, on préférera évidemment le premier opus. Me Myself I a cette fraîcheur qui caractérise bon nombre de premiers films à petit budget, hors star-système (Rachel Griffiths n’avait pas encore connu le succès qu’allait lui apporter la série Six Feet Under).
Ceci pour dire que si vous avez déjà vu The Family Man, il est temps de vous ruer sur Me Myself I.
Et puis, si c’est l’inverse, amusez-vous au jeu des sept erreurs…
BS