PLOUM PLOUM
Collectif catalan ont commencé à faire parler d’eux en 2000 lors de leur premier concert aux alentours de Barcelone.
3 albums à leur actif. Une bande de 11 musciens accordant violon, saxo, trompette, piano, batterie, tout style de percussions.
Ce n’est pas un groupe de Raî, ni de rock, ni la Mano Negra ou une copie de Sergent Garcia mais ils ont un peu de tous. Bien que le fil conducteur de leurs disques soit les influences arabes, de part sa variété de sons et langues chantées (arabe, catalan, français et castilan), il n’hésitent pas à nous faire chavirer vers des territoire proches d’un film de Kustorica.le groove et sa densité rythmique croise les mélodies allant du flamenco au balkanique, de l’arabe au méditerranéen, carrefour de « la banda ».
Plou Plom (Il pleut du plomb) nous parle des temps que nous vivons et «musiqueta que enamora »( musique pour aimer) l’autre moitié, est le contre poids pour toutes les mauvaises sensations.
Balowski en polonais, est un adjectif dérivé du verbe balovac qui signifie se divertir en dansant.
Du dadaïsme à Sao Paulo, un détournement réjouissant de l’opérette brésilienne sur fond de raillerie tropico-rock primsautière inspirée du pagode. (est traditionnellement une réunion amicale au
cours de laquelle des musiciens amateurs ou professionnels font de la musique, dans les jardins publics, principalement de la samba. Par extension depuis les années 90, le terme désigne une modalité de samba caractérisé par des instruments qui ont été crées spécialement pour lui et un rythme plus nerveux.) Cette opérette au thème Racinien met à mal quelques conduites sociales locales comme le machisme, la peur des femmes, le tout sur un rock brindezingue balancé par un lyrique choro (musique populaire instrumentale né à Rio de Janeiro au 19ème, reproduisant des musiques à danser européennes mélangées à des rythmes venus d’Afrique.)