Ce qui est intéressant dans ce disque c’est qu’il interroge sur les diverses formes d’improvisation. On sait que celle-ci n’est pas apparue avec le jazz, qu’elle existait dans la musique baroque par exemple.

À travers les reprises d’œuvres de Monteverdi, Frescobaldi et Marini, Samuel Blaser revisite avec son trombone la postérité de la Sacqueboute, ancêtre de son instrument de prédilection, que Monteverdi avait utilisé. À comparer avec une autre exploration de la musique baroque par un improvisateur, les Gesualdo Variations de David Chevallier . (DS)