SANS NOUVELLES DE DIEU
Le Ciel perd du terrain tandis que l’Enfer ne désemplit pas. Les
Le Ciel perd du terrain tandis que l’Enfer ne désemplit pas. Les
deux camps s’affrontent autour de l’âme d’un boxeur
espagnol qui devient l’instrument et le pantin d’un combat dont
il n’a nulle conscience. Le Ciel dépêche son meilleur ange
en épouse modèle et caissière émérite (Victoria
Abril), tandis que l’Enfer envoie son agent sous les traits d’une
cousine perdue de vue, belle comme le péché, même si on
peut lui reprocher une démarche peu élégante. Alors que
les deux femmes ( ! ) s’affrontent, l’Enfer connaît de graves
problèmes politiques, une direction plus performante cherchant à
renverser celle en place, plus traditionaliste. Et des alliances pour le moins
inattendues se nouent.
Le plaisir de ce film réside surtout dans le choix des actrices, dans ses clins d’œil savoureux (l’apparition de Javier Bardem par exemple) et dans l’égratignement de certains fonctionnements de notre société (ou comment un ex-ponte du F.M.I. débarque en Enfer et devient un anonyme sans papiers).
(Éva Debaix, dépt. Fiction Documentaire)
Le plaisir de ce film réside surtout dans le choix des actrices, dans ses clins d’œil savoureux (l’apparition de Javier Bardem par exemple) et dans l’égratignement de certains fonctionnements de notre société (ou comment un ex-ponte du F.M.I. débarque en Enfer et devient un anonyme sans papiers).
(Éva Debaix, dépt. Fiction Documentaire)