NOT SO MUCH TO BE LOVED AS TO LOVE
Un nouvel album du sympathique et éternellement juvénile Jonathan Richman restera toujours le meilleur remède contre la morosité ambiante, l'anti-stress par excellence !
D'une décontraction exemplaire, ce joyeux troubadour chante en anglais, en italien, en espagnol, en français même d'immédiates mélodies qui croquent la vie à pleines dents, évoquent aussi bien Dali, les étoiles, l'amour, un beau dimanche après-midi, tout en militant pour la libération d'Abu Jamal ! Incorrigible Jonathan et c'est pour cela qu'il est si touchant, essentiel. Bref, on l'aime !
( Lionel Charlier, Seraing )