Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
Pointculture_cms | critique

GLLIA

publié le

Encore un album qui réussit à nous prendre par les émotions. Il se déroule au Japon, comme les séquences d’un film au charme discret. Pourquoi me fait-il penser à Lost in Translation ? Un disque conçu comme un doux drame, mélange d’émoi, de joie […]

Encore un album qui réussit à nous prendre par les émotions. Il se déroule au Japon, comme les séquences d’un film au charme discret. Pourquoi me fait-il penser à Lost in Translation ? Un disque conçu comme un doux drame, mélange d’émoi, de joie intime, de gravité personnelle. Côté musique, les mélodies sont omniprésentes, les atmosphères évocatrices sont portées par des orchestrations acoustiques d’une grâce sans faille. Une oscillation équilibrée entre une instrumentation « vague à l’âme » classique (piano, flûte, cello, clarinette), une tonalité pop directe (batterie, guitare), d’imperceptibles clins d’œil électroniques. Ce Ruinruin par exemple, tout un univers avec un triangle, un peu de piano et de mellotron (échantillonneur ancien) et les craquements d’un vieux vinyle.
Un disque important à la Médiathèque, sur le label de Ryuichi Sakamoto.


Pierre-Charles Offergeld
 

Classé dans