KNOR, 110 KILOS EN 25 SEMAINES
La vie d’un cochon au sein d’un élevage industriel
La vie d’un cochon au sein d’un élevage industriel
racontée par lui-même, avec une touche de fine ironie !
À l’heure de la rentabilité et de l’élevage de masse, les cochons ne hantent plus guère les cours de ferme. Ils sont désormais parqués dans des unités de production hautement industrialisées, dont les Néerlandais sont devenus les champions en Europe.
La réalisatrice a suivi le parcours de l’un de ces petits cochons, baptisé Knor, à qui elle donne la parole à travers la voix de l’acteur Jean-Claude Dreyfus. Tout comme son maître, Knor essaie de maintenir la tête hors de l'eau. Son maître aurait bien voulu lui donner plus d'espace et même plus de foin. Mais, les lois de l'économie sont comme une poigne de fer pour Knor et l'éleveur de porcs. Objectif de ses propriétaires : lui faire prendre cent dix kilos en vingt-cinq semaines. Et Knor finira en côtelettes juteuses ou en filets mignons. À moins que…
Au travers d’images de qualité, prises à hauteur de groin, le documentaire suscite des réflexions sur la condition du porc de consommation et l’industrialisation de son élevage.
(Catherine Mathy, Dépt. Fiction Documentaire)
À l’heure de la rentabilité et de l’élevage de masse, les cochons ne hantent plus guère les cours de ferme. Ils sont désormais parqués dans des unités de production hautement industrialisées, dont les Néerlandais sont devenus les champions en Europe.
La réalisatrice a suivi le parcours de l’un de ces petits cochons, baptisé Knor, à qui elle donne la parole à travers la voix de l’acteur Jean-Claude Dreyfus. Tout comme son maître, Knor essaie de maintenir la tête hors de l'eau. Son maître aurait bien voulu lui donner plus d'espace et même plus de foin. Mais, les lois de l'économie sont comme une poigne de fer pour Knor et l'éleveur de porcs. Objectif de ses propriétaires : lui faire prendre cent dix kilos en vingt-cinq semaines. Et Knor finira en côtelettes juteuses ou en filets mignons. À moins que…
Au travers d’images de qualité, prises à hauteur de groin, le documentaire suscite des réflexions sur la condition du porc de consommation et l’industrialisation de son élevage.
(Catherine Mathy, Dépt. Fiction Documentaire)