Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
Pointculture_cms | critique

CABARET CIXOUS

publié le

Un premier album qui sort sur le label californien Not Not Fun dont je vous avais déjà parlé concernant le duo Peaking Lights découvert dans les divans du mois passé.

Un premier album qui sort sur le label californien Not Not Fun dont je vous avais déjà parlé concernant le duo Peaking Lights découvert dans les divans du mois passé.

Maria Juur est née en Estonie et s’est installée à Londres où elle travaille comme stagiaire pour Wire. Etant loin de son pays, elle s’ennuie et déprime un peu, comme elle travaille pour un magazine musical, elle écoute beaucoup de disques, elle a donc l’idée d’acheter le matériel nécessaire pour s’enregistrer et faire de la musique en chambre. Dans son pays natal, elle avait déjà commencé à faire de la musique, mais c’est dans un Londres inconnu et peut-être inamical qu’elle s’est vraiment appliquée à enregistrer des cassettes pour commencer et un disque par la suite.

Cabaret Cixous tire son nom de Cabaret Voltaire (groupe anglais d’electro-industrielle), de Cabaret Derrida (groupe estonien expérimental), et d’Helen Cixous (féministe et  romancière). L’album se réfère au dadaïsme, à l’electro, à la philosophie et au féminisme.

Les compositions contiennent des textes bâtis sur une écriture automatique dont la consonance est au service de l’ambiance musicale électronique construite à partir de laptops comme vous l’aurez bien compris, sur laquelle elle pose une voix rêveuse et alanguie.  Un disque aérien, vaporeux, brumeux avec des relents de house, genre apprécié par la demoiselle.

 

 

Classé dans