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Pointculture_cms | critique

SAGA OF THE MAYFLOWER MAY (THE)

publié le

La voix de la chanteuse de Dead Can Dance a souvent été décrite comme le résultat d’une "possession": une prêtresse animiste du Moyen-Age aurait envahi, on ne sait trop comment ou pourquoi, le corps d’une jeune punkette gothique australienne, qui […]

La voix de la chanteuse de Dead Can Dance a souvent été décrite comme le résultat d’une "possession": une prêtresse animiste du Moyen-Age aurait envahi, on ne sait trop comment ou pourquoi, le corps d’une jeune punkette gothique australienne, qui s’est vite retrouvé dépassée par cette présence qu’elle ne parvenait pas à contrôler
On pourrait en fait sans doute décrire Marissa Nadler comme une sorte de pendant rural et lumineux à Paula Frazer, la country sombre et électrique de Tarnation laissant ici à un accompagnement plus typiquement folk: guitares acoustiques, orgue Hammond, piano, ukulélé,.... Les textes sont plus directs, plus simples, plus fleur-bleue, pourrait-on presque dire. Ici, pas de fêlures dans la voix faisant déboucher les mélodies faussement simples sur des gouffres sans fond, juste des mélodies à la simplicité à peine teintée de mélancolie, des chants à fredonner en gambadant dans les herbes folles les jours de bonheur complet.


 

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