FEMMES PRÉHISTORIQUES
Un safari en Afrique… Un homme blesse un léopard. Le guide connaît les règles de la jungle et en parfait « safariste »décide de poursuivre l’animal pour l’achever.
La nuit tombe, il pénètre dans le territoire interdit (aïe, aïe…).
Il tombe sur une rave party où le DJ le repère et décide de le sacrifier au dieu rhinocéros blanc.
Alors notre homme s’échappe, il arrive dans une sorte de jardin d’Éden et paf ! Une jolie blonde vêtue d’un bikini en peau de singe s’écrase sur lui.
À peine les présentations faites (il parle et comprend tout de suite le préhistorique sans peine), de méchantes femmes, reconnaissables à leurs bikinis noirs, cheveux noirs et œil mauvais s’emparent de nos futurs tourtereaux.
On les amène dans un camp et là, le guide comprend tout ou plutôt on lui explique tout.
C’est une vallée oubliée, les femmes aux cheveux noirs ont pris le pouvoir sur les femmes aux cheveux blonds, il y a aussi des hommes réduits en esclavage qui s’occupent du chauffage (je crois…).
Et puis, il y a la reine jouée par Martine Beswick (une spécialiste de la gent féminine préhistorique : elle est Nupondi dans Un millier d’années avant Jésus-Christ (VU8223), très attirée par notre guide (Hé là, lui il ne veut pas ! Il préfère la blonde, elle est gentille elle au moins et ne veut pas l’asservir).
Vous découvrirez ensuite de sensuelles danses sixties, des bagarres de femmes, une blonde sacrifiée au rhinocéros blanc et un embrochage par la corne.
Mais ! Et si tout cela n’avait été qu’un rêve : le rhino, les blondes, la reine Kari et… même le film ?
Une production Hammer (spécialisé dans les films d’horreur dans les années 60).
Dans la même série, d’autres titres évocateurs : La femme reptile (VF1413), Le redoutable homme des neiges (VR1360) ou encore Raspoutine, le moine fou (VR0912).
MV