Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
Pointculture_cms | critique

ONE DAY IT WILL PLEASE US TO REMEMBER EVEN THIS

publié le

On se rend compte de l’ampleur de leur influence sur la musique actuelle. Tout le monde connaît leur fameux logo: un rouge à lèvres chromé, griffonnant leur nom sur un miroir invisible. Mais ils sont plus qu’une simple marque ! Les New York Dolls, […]

On se rend compte de l’ampleur de leur influence sur la musique actuelle. Tout le monde connaît leur fameux logo: un rouge à lèvres chromé, griffonnant leur nom sur un miroir invisible. Mais ils sont plus qu’une simple marque ! Les New York Dolls, groupe culte au début des années 70, lié aux artistes new-yorkais du théâtre androgyne et à ceux de la Factory d'Andy Warhol, ont enflammé l'histoire du rock avec deux albums en 1973 et 1974 ("New York Dolls" et "Too Much Too Soon") avant de se brûler les ailes et de voir une partie du groupe se consumer, avec le décès de trois des musiciens, dont Johnny Thunders. C'est à l'occasion du Meltdown Festival de Londres en 2004 que Morissey, fan depuis son plus jeune âge et organisateur du festival, propose aux New-York Dolls de se re-former pour un concert-événement. Deux ans de tournée plus tard, le groupe grave une série de nouveaux titres résolument positifs et énergiques sur ce qui constituera leur troisième album en 35 ans, pour ces survivants de l'avant-garde punk.

Classé dans