AFTER THE WEDDING
Jacob, vit en Inde et s’occupe d’enfants orphelins. Son association est contactée par un mécène danois qui désire faire une donation importante, à la condition que Jacob vienne le rencontrer en personne en Europe. Arrivé sur place il est accueilli par l’homme d’affaire généreux, celui-ci désire analyser le projet de Jacob et en attendant la décision finale l’invite au mariage de sa fille le lendemain. A la noce, malgré lui, Jacob va trouver confronté à son passé.
Au début du film , on ne peut s’empêcher de comparer After the Wedding à Festen, mais très vite la comparaison s’arrête. Les personnages sont moins vindicatifs, ici on ne règle pas ses comptes. Et même si parfois on peut s’étonner de l’attitude de l’un ou l’autre, le film nous montre le labyrinthe que l’esprit humain peut emprunter.
Susanne Bier n’en n’est pas à son coup d’essai. Elle a fait partie du l’équipe «Dogme», et a réalisé Brothers entre autres.
Ciné…. Yeux bleus