Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
Pointculture_cms | critique

HOW TO LIVE ON NOTHING

publié le

Musicien américain, il fut le chanteur et guitariste de 1993 à 2003 du groupe Chokebore. Un groupe fougueux associé à la scène grunge. Quand Chokebore décide de se mettre en veilleuse, Von Balthazar continue d’écrire et de composer pour lui seul. En […]

Musicien américain, il fut le chanteur et guitariste de 1993 à 2003 du groupe Chokebore. Un groupe fougueux associé à la scène grunge. Quand Chokebore décide de se mettre en veilleuse, Von Balthazar continue d’écrire et de composer pour lui seul. En 2005 il publie son premier album en solo, et part sur les routes pour une tournée de presque 2 ans. Il se présente sur scène tout seul avec sa guitare et un petit sampler, et confirme ainsi ses talents de songwriter.

Aujourd’hui, il sort son deuxième album toujours autant à fleur de peau. C’est le genre de musicien qui n’exige pas de grosses tournées dans de grandes salles, ni de reconnaissance mondiale. Il fait ce qu’il sait faire le mieux, il écrit et compose pour un public qui l’apprécie. Le titre de son album en dit long : « Comment vivre de rien ».

Il est loin du brouhaha de Chokebore, qu’il reformera le temps d’un été pour se refaire une santé financière sans doute.

Il explique dans une interview, que la vie d’un musicien indépendant tel que lui, qui fait tout tout seul n’est pas facile financièrement parlant.

Pour ce nouvel album, il avait envie de se retrouver dans une ambiance « groupe », il s’est donc entouré des musiciens du groupe Black Pine – des amis  et il a retrouvé Adeline Fargier qui l’accompagnait déjà sur son premier disque. On se retrouve avec un album tout en finesse, avec un accompagnement qui encadre chaque chanson au plus juste. Certaines baignent dans la délicatesse, d’autres (« Santiago ») contiennent une décharge électrique justement dosée.

 

Classé dans