Et voici un premier album assez discret mais qui vaut la peine qu’on s’y intéresse plus que trois secondes. Youth Lagoon c’est Trevor Powers, un jeune américain de l’Idaho, il a le mérite d’avoir composé cet album tout seul.

De la dreamy pop quasi lofi, si vous aimez Beach House, Atlas Sound / Deerhunter, ou le « Deserter’s Song » de Mercury Rev (surtout pour le timbre de la voix), cet album ne pourrait que vous plaire.

Un disque fragile, une voix haut perchée qui vient de loin, des instruments habituels – guitare, basse, batterie- un peu d’electro, de l’écho, une petite rengaine quasi enfantine au clavier sur « Afternoon » ou « 17 »,  un son crapoto saturé et pour couronner le tout une sensation  mélancolique toute adolescente, une impression de solitude.

Un musicien à garder à l’œil, à mon avis on en reparlera.

Bonnes découvertes

Brigitte