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Pointculture_cms | critique

PLAYS JOHN CARPENTER

publié le

Duo parisien formé par Neman du groupe Herman Düne à la batterie et Etienne Jaumet multi-instrumentiste au sein de Married Monk aux claviers vintage. Tous deux passionnés par les films d’horreur et leurs bandes son, mais aussi par les pionniers de la […]

Duo parisien formé par Neman du groupe Herman Düne à la batterie et Etienne Jaumet multi-instrumentiste au sein de Married Monk aux claviers vintage. Tous deux passionnés par les films d’horreur et leurs bandes son, mais aussi par les pionniers de la musique électronique, des Kosmische Musiek etc…. En combinant ces deux passions il est clair que des univers comme ceux de Carpenter, Dario Argento ou Barbarella sont de fameux pôles d’attraction.

Même si les musiques de ces deux derniers exemples sont plus éloignées.

Il faut savoir aussi que John Carpenter a composé lui-même la plupart de ses bandes-son, musiques assez binaires avec un thème récurant et entêtant revenant sans cesse en boucle.  

Cette rencontre avait déjà occasionné la sortie de « A Land For Renegates » en 2008.

Et déjà dans ce premier album, ils faisaient hommage à Carpenter en introduisant un sample de son film « The Thing » dans « Driving This Road Until  Death Set You Free ».

Cette fois, ils reviennent à la charge avec des reprises entièrement consacrées au réalisateur culte. Ils rendent hommage à ces tubes d’électro synthétique, et les détournent de leur but principal qui était malgré tout d’intensifier le suspense.  

Ils ont insufflé un beat légèrement  funky, une note plus groove, dans ces standards à haute-tension plutôt robotiques. Pour « Escape From L.A. » c’est vers les influences krautrock qu’ils se sont tournés, et c’est pareil, nous y sentons une dose de chaleur dont l’original est totalement dépourvu.

 

 


 

 

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