Bruxelles, le 18/01/98 Colette, Je n'ai pas compris ton attitude d'hier soir. Je suis ici au bureau, mon écran devant moi et je ne cesse de penser à toi. Penses-tu que nous pourrons nous revoir bientôt?. J'ai tellement besoin de te voir, de te parler. Le 25, cela fera 1 mois que nous nous connaissons. Je te connais à peine et pourtant je te sais si fragile et si secrète, si mystique et cependant je te sens si intaine. J'ai bien compris que Jean-Jacques est de retour mais quelque chose me laisse penser que comme dit le dicton: "Un vase cassé reste à tout jamais fêlé. J'ai tant d'amour à donner, jamais distribué, s'il reste une place dans ta vie, pense à moi. Comme chantait si bien BRASSENS, tu es une femme chez