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BRÛLE, BRÛLE, BRÛLE...
ASYL

  • Ref. NA7281
  • BECAUSE MUSIC, 2009.

« Brûle, brûle, brûle...» est inscrit sous quatre hommes au sein d'une piscine. Que le paradoxe est grand ! Et c'est tout à l'image de cet album partagé entre deux mondes : le blanc et le noir. Pas si extrêmes, parfois très proches, ces deux univers sont différents pourtant. Il y a le post-punk, courant alternatif, qui marque l'ouverture de l'opus avec « Côté sombre », où le chant est saccadé, la voix incisive, les fûts martelés et le ton écorché vif, à l'image notamment de « Sous la pluie » ou encore le très bon « La Piscine ». Puis il y a le reste ; plus rond, moins brutes, plus travaillé, plus FMisé (« Les dieux sont des rois »), plus sincère peut être (« Brûle, brûle, brûle... »), plus léger (« La triste histoire de Bugs Bunny »), voir plus sensuel (« Comme un glaçon »). Les douze pistes ci-présentes marquent l'alchimie de ses deux courants, si proches, mais si différents. D'un côté le dark, que seuls les détenteurs de l'album connaîtront, entre mystère et noirceur, pour un punk incisif. De l'autre, le pop-rock, plus fluet, plus mélodique, auquel Daniel Darc a participé(Comble de la duplicité) pour le très intimiste « Ne plus y penser ». Un effort tantôt punk, tantôt pop-rock pour un album schizophrène qui a bien fait de sortir de son Asyl. (Thomas Lhuillery sur www.rocknfrance.com)

Pistes

  • 1 Côté sombre
  • 2 Sous la pluie
  • 3 Les dieux sont des rois
  • 4 La triste histoire de Bugs Bunny
  • 5 La piscine
  • 6 Dans la ville
  • 7 Ne plus y penser
  • 8 Tout pour moi (rien de moi)
  • 9 J'étais perdu
  • 10 On se connait
  • 11 Brûle, brûle, brûle
  • 12 Comme un glaçon