Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
 

Emprunter

ou

19 COURTS MÉTRAGES DE LA NOUVELLE VAGUE
LA DIRECTION D'ACTEUR PAR JEAN RENOIR
Gisèle BRAUNBERGER

  • Ref. VD1696
  • Produit en 1969, France.

Dans un studio peu meublé, Jean Renoir développe et illustre sa conception de la direction d'acteur. Partant d'un monologue extrait d'un roman de Rummer Godden et prenant comme "cobaye" l'initiatrice de ce film, Gisèle Braunberger, il lui propose de lire le texte le plus platement possible. Cette méthode, dite "à l'italienne", doit permettre à l'interprète non pas de plaquer de l'émotion sur ce texte, mais de laisser naître le rapport inédit qu'elle doit tisser entre elle-même et la jeune fille qu'elle interprète.

Intervenants

Avec la participation de :
Réalisation :
Équipe technique :

Séquences

  • 24 heures de la vie d'un clown (Jean-Pierre Melville, 1946)
  • Le coup du berger (Jacques Rivette ,1956)
  • Toute la mémoire du monde (Alain Resnais, 1956)
  • Tous les garçons s'appellent Patrick (Jean-Luc Godard, 1957)
  • Ô saisons, ô chateaux (Agnès Varda, 1958)
  • Charlotte et son jules (Jean-Luc Godard, 1958)
  • Le Chant du styrène (Alain Resnais, 1958)
  • Histoire d' eau (Jean-Luc Godard et François Truffaut, 1958)
  • Les Surmenés (Jacques Doniol-Valcroze, 1958)
  • L' Amour existe (Maurice Pialat, 1960)
  • Janine (Maurice Pialat, 1960)
  • À la mémoire du rock (François Reichenbach, 1962)
  • Le Petit Café (François Reichenbach, 1962)
  • Chanson de gestes (Guy Gilles, 1964)
  • L' Avatar botanique de Mademoiselle Flora (Jeanne Barbillon ,1965)
  • La Goumbé des jeunes noceurs (Jean Rouch, 1965)
  • Les Veuves de quinze ans (Jean Rouch, 1965)
  • La Sixième face du pentagone (Chris Marker et François Reichenbach)
  • La Direction d'acteurs par Jean Renoir (Gisèle Braunberger, 1968)