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L'INDE, DES JOURS & DES HOMMES, Vol.2
Dominique RABUTTEAU - Frédéric SOLTAN
- Ref. TJ4946
- France.
- Série L' INDE, DES JOURS & DES HOMMES n° 2.
- Langue FR, AN. Durée :156'.
"L'Inde des jours et des hommes" est une série de rencontres particulières aux quatre coins du sous-continent. Dans leurs tâches quotidiennes, dans leurs créations artistiques, dans leurs fêtes et dans leurs rituels, les hommes et les femmes de ce pays nous aident à comprendre l'Inde, à en apprécier sa variété et sa vitalité. L'Inde est à la fois mystique et pratique. Cette civilisation, l'une des plus anciennes du monde, est aussi l'un des pays les plus dynamiques dans la conquête de l'avenir.
1. "Les fêtes": Le calendrier indien détient le record des jours fériés. Toutes les raisons sont bonnes pour faire la fête. A Bombay, capitale économique de l'Inde, Ganesh le dieu de la prospérité est l'objet d'une des plus joyeuses fêtes de l'année. Au Sud de l'Inde, le printemps est l'occasion de lâcher les taureaux sur les places de village. Au Kerala, quand les dieux parlent par la bouche des hommes, le spectacle devient un rituel sacré et au Gujarat, le temps d'une foire, les jeunes filles peuvent choisir leur futur mari.
2. "Les métiers": Le chômage n'est pas un fléau indien. Si le pays peut s'enorgueillir d'avoir les meilleurs informaticiens du monde, il a su aussi préserver des miliers de métiers du plus humble au plus prestigieux. A Tirumalaï, Subramanyan rase des têtes en l'honneur d'un dieu. Santosh, à Palitana, porte sur ses épaules de riches pèlerins jaïns, Matthew conduit les ferries de la Venise verte, la plus belle lagune du Kerala et Nilkon, à Calcutta, est l'un des meilleurs sculpteurs de Durga, la déesse-mère de la capitale du Bengale.
3. "Les enfants": En Inde, les enfants incarnent la pureté originelle. Ils sont les seuls à pouvoir endosser les habits des dieux pour la fête de Ramlila à Bénarès et pour les fêtes du feu en Orissa. A Bombay, Smita, à douze ans, suit des cours de médecine pour aider les plus démunis. Tandis que Yoga et Sukkha, âgés de six et sept ans, apprennent à manier l'épée pour devenir un jour, des Nihangs, les chevaliers de Dieu du sikkhisme.