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SALSA OPUS
Yves BILLON - Mauricio MARTINEZ CAVARD

  • Ref. TB7381
  • Produit en 1992.
  • Langue FR.

C'est vers les années soixante que la musique des émigrés latins du Barrio de New York trouve son nom: la "salsa", une "sauce" en perpétuele ébullition. Aujourd'hui, la salsa est un art de vivre pour plus de 50 millions de Latino-américains. Ce double DVD offre un très large panorama des diverses tendances de la salsa aux quatre coins du globe.

  1. 1. "New York, notre monde latin": Dans le creuset new yorkais, l'avènement de la salsa a peut-être réalisé le vieux rêve du général Bolivar: "Unir sous une même bannière, au sein d'une même culture, d'une même passion des peuples aussi différents que les Colombiens, les Portoricains ou les Cubains". La salsa à New York est une musique profondément latine qui a permis à tous les déracinés de revendiquer leur langue et leur culture.
  2. 1. "Colombie, un pays tropical": En Colombie, la salsa s'est chargée de toutes les saveurs des musiques et des rythmes locaux traditionnels. Depuis toujours, deux grandes villes, Cali et Barranquilla, se disputent le titre de capitale de la salsa à coups de shows, de foires et de carnavals. Chaque carnaval est voué à l'adoration de la salsa, qu'il décerne avec des motifs violemment exotiques. Dans ce pays ravagé par une violence endémique, la musique est devenue l'un des rares espaces où il fait bon vivre.
  3. 3. "Puerto Rico, ça balance sous les cocotiers": Puerto Rico a donné le jour à l'une des plus célèbres idoles de la salsa: Ismaël Rivera, surnommé le "Sonero Mayor". Il fut le promoteur d'une version moderne de l'un des folklores les plus riches des Caraïbes: la "bomba" musique à danser située à la confluence des courants issus de l'Afrique (avec la traite des esclaves), de l'Espagne (lors de la colonisation) et du patrimoine indigène.
  4. 4. "Vénézuela, visa pour les barrios": Le Vénézuela dispose d'un passé musical très riche. Les rythmes de la "soca", du "merengué", du "calypso" et des "steel bands" se mélangent en une salsa à la saveur violente et originale. Ailleurs, c'est Oscar D'Leon et la "Dimension Latina" qui sont à l'origine du boom de la salsa. Chaque province apporte sa contribution: à Barlovento, ce sont les rythmes des tambours des descendants d'esclaves, à Maracaïbo, ce sont les adeptes de la "gaïta zuliana", à El Callao et sur la côte atlantique, c'est le "calypso". Toutes ces influences musicales, qu'elles soient afro-antillaises ou latines, ont su s'intégrer à la grande tradition caribéenne de la danse et de la fête au Vénézuela.
  5. 2. "Cuba, du rhum entre les oreilles": Blanc sucre et guitare, Noir tabac et tambours: depuis le 16e siècle jusqu'à nos jours, ces éléments se sont mélangés avec la même ferveur créative. Aujourd'hui, le mulâtre, le café au lait, le bongo, la contredanse, le tango, la habanera et le danzon, la rumba et le bembe avec le créole, et ce son si particulier. "La salsa n'existe pas, c'est du son, de la musique cubaine traditionnelle", voilà ce que répètent inlassablement les protagonistes de ce grand art populaire.
  6. 6. "Paris salsa": L'histoire d'une rencontre, celle du public parisien et d'une musique venue d'ailleurs. Yuri Buenaventura, présent avec son succès "Ne me quitte pas" de Jacques Brel en version salsa, emmène le spectateur dans quelques haut-lieux de Paris, à la rencontre de Ernesto "Tito" Puente, Sergio Barreto, ou encore Oscar Lopez et Alfredo Rodriguez. (Mauricio Martinez-Cavard)

Intervenants

Séquences

  • New York, notre monde latin
  • Colombie, un pays tropical
  • Puerto Rico, ça balance sous les cocotiers
  • Vénézuela, visa pour les barrios
  • Cuba, du rhum entre les oreilles
  • Paris salsa