Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
 

Emprunter

ou
Contenus et/ou évènements liés

SANS FRAPPER
Alexe POUKINE

  • Ref. TN7320
  • Produit en 2019, Belgique, France.
  • Langue FR st. NL, AN. Durée : 84'.

Ada a 19 ans. Elle accepte d'aller dîner chez un type qu'elle connaît. Tout va très vite, elle ne se défend pas. Son sexe est déchiré, son esprit diffracté. Malgré ça, ou à cause de ça, elle retourne seule, à deux reprises, se confronter à cet homme. Son récit se mélange à ceux d'autres, tous différents et pourtant semblables. La même sale histoire, insensée et banale.

« Comment rendre partageable une expérience fondamentalement et intimement destructrice, majeure par ses répercussions, et pourtant tenue cachée ? Parce que je souhaitais dépasser le simple enregistrement du réel, ne pas tomber dans l'anecdotique ou l'explicatif, j'ai décidé de prendre un détour fictionnel en demandant à Ada d'écrire son histoire et à plusieurs personnes de se mettre littéralement « à la place » d'Ada. [...] En choisissant qu'Ada n'existe que par le récit, j'ai voulu que le spectateur constitue lui-même l'image de cette femme, à travers des visages qui pourraient tous être celui d'Ada et qui en même temps ne sont pas elle. Je voulais que ce visage inventé, universel car démultiplié, porte le spectateur d'un bout à l'autre du film. » - Alexe Poukine, extrait du dossier de presse

Compléments (50 min) : La prise en charge médico-légale (19 min) - La culture du viol (16 min) - La disssociation (15 min).

Critique du film sur Cinergie

Entretien avec la réalisatrice Alexe Poukine sur Cinergie

Film est disponible sur laplateforme.be [pour opérateurs du secteur culturel et enseignant·e·s de la Fédération Wallonie-Bruxelles]

Bande-annonce :