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DIALOGE, CONCERTE & MADRIGALE
Andreas HAMMERSCHMIDT

MOVIMENTO

  • Ref. BH5760
  • CHRISTOPHORUS, 2011.

Né en Bohème vers 1611, le compositeur et organiste Andreas Hammerschmidt fut un brillant représentant de la musique religieuse germanique du 17ème siècle, contemporain de Heinrich Schütz. De sa jeunesse à Freiberg, nous ne savons rien. Par contre, il fut organiste au service du comte Rudolf von Bünau au château de Weesenstein (Saxe) de 1633 à 1634. L'année suivante, il obtient un poste d'organiste à la Petrikirche à Freiberg, l'église principale de la ville. Il publie en 1636 le premier volume de pièces instrumentales Erster Fleiss suivi en 1639 par de la musique vocale sacrée : Musicalische Andachten. Nouveau changement dans sa vie, le 18 novembre 1639, Hammerschmidt devient organiste de la Johanniskirche à Zittau. Ce poste lui apportera la célébrité et l'inspiration. Comme organiste, il se devait de composer de la musique vocale, de diriger les solistes du choeur et l'ensemble instrumental des musiciens de la ville tandis que Kantor était responsable de la musique liturgique chorale. Sa position à Zittau était particulièrement florissante : respecté et bien rémunéré, il s'achète une maison en 1656. Il reçoit l'hommage de nombreux poètes, textes qui figureront dans les préfaces de ses nombreuses publications. C'est à Zittau enfin, qu'il ferme les yeux le 29 octobre 1675, surnommé l'Orphée de Zittau. La majeure partie de son oeuvre réside dans de la musique vocale religieuse. Il a publié quelques 400 pièces dans 14 recueils. La diversité y est de mise : messes, motets, dialogues, madrigaux, arias, concertos vocaux, en latin ou en allemand, allant de une à douze voix, avec ou sans instruments. Le présent enregistrement donne un aperçu valable de cette oeuvre gigantesque et variée. Comment a-t-on pu " oublier " un tel compositeur ? AG

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Interprètes

Œuvres

  • Paduan en sol, pour violes (1636)
  • Gaillard en sol, pour violes (1636)
  • Lobe den Herren, meine Seele, poour soprano, ténor et 2 violons (1642)
  • Wie bin ich doch so herzlich froh, pour soprano, 2 violons et continuo (1642)
  • Aria en Fa, pour violes (1636)
  • Gott, es ist mein rechter Ernst, pour soprano, ténor, 2 violons et continuo (1642)
  • Nun treten wir ins neue Jahr, pour soprano, ténor, 2 violons et continuo (1642)
  • Paduan en Mi, pour violes (1639)
  • Mein Freund ist mein, pour soprano, ténor, 2 violons, 3 violes et basse continue (Kirchen- und Tafel-Music, Zittau, 1662)
  • Courente en la, pour violes (1636)
  • Vulnerasti cor meum, pour soprano et basse continue (Motettae, Dresden, 1649)
  • Aria en sol, pour violes (1639)
  • Komm Nordwind du, O Süd steh auf, pour soprano, ténor, 2 violons et basse continue (Geistlicher Dialogen, Dresden, 1645)
  • Wie der güldnen Rosen Zier, pour soprano, ténor, 2 violons et basse continue (Geistlicher Dialogen, Dresden, 1645)
  • Paduan en la, pour violes (1636)
  • O barmherziger Vater, motet à 4 vx (1641)
  • Herr, wie lange willst du mein so gar vergessen, motet à 5 vx (1641)
  • Sei nun wieder zufrieden, pour soprano et basse continue (1639)
  • Herr, nun lässt du deinen Diener im Friede fahren, motet à 6 vx (1641)

Pistes

  • 1 Suite a 5 for Winds in G minor-major
  • 2 Suite a 5 for Winds in G minor-major
  • 3 Lobe den Herren, meine Seele
  • 4 Wie bin ich doch so herzlich froh
  • 5 Aria in F major
  • 6 Gott, es ist mein rechter Ernst
  • 7 Nun treten wir ins neue Jahr
  • 8 Paduan in E major
  • 9 Mein Freund ist mein
  • 10 Courente in A minor
  • 11 Vulnerasti cor meum
  • 12 Aria in G minor
  • 13 Komm Nordwind du, o Sud steh auf
  • 14 Wie der guldnen Rosen Zier
  • 15 Paduan in A minor
  • 16 O barmherziger Vater
  • 17 Herr, wie lange willst du mein so gar vergessen
  • 18 Sei nun wieder zufrieden
  • 19 Herr, nun lasst du deinen Diener im Friede fahren