Les histoires cachées de la création

Comment crée-t-on une salle de concerts, un festival, un théâtre, un cinéma ? Quelles sont les étapes ? Les obstacles ? Les portes où frapper ? La première saison d'En premier lieu va à la rencontre de ces personnes qui ont été assez audacieuses, curieuses, passionnées, folles, pour créer un lieu de culture.

Une série de podcasts qui souligne l’importance de ces lieux dans nos vies et qui permet, aussi, de découvrir différemment l'activité culturelle namuroise.

Trois épisodes sont d’ores et déjà disponibles, écoutables et réécoutables à loisir.

Esperenzah! : Jean-Yves Laffineur raconte les histoires cachées derrière la création de ce festival soucieux d’améliorer la société par la culture
Le Théâtre Jardin Passion : Marie-Noëlle Hebrant et son frère Sébastien nous présentent le théâtre comme un lieu de rencontre et de partage
Le Festival International du Film Francophone : Jean-Louis Close revient sur la naissance du FIFF, il y a déjà 35 ans

Ne manquez pas les trois prochains sujets consacrés au festival Beauraing is not dead, au cinéma Caméo (Les Grignoux) et au Belvédère !

Un podcast à découvrir sur le site de PointCulture ou via votre plateforme d’écoute préférée.

En premier lieu est un podcast de PointCulture, écrit et réalisé par Astrid Jansen. Musique originale de Toon Jansegers.

Un début de saison très théâtral

Chez PointCulture, nous aimons le théâtre sous toutes ses formes. Cela tombe bien, la rentrée bruxelloise est riche en découvertes.

Avec Le petit chaperon rouge de la rue Pigalle, Stéphane Arcas choisit de revenir aux fondamentaux. Afin de servir les écrits de l’autrice et actrice Florence Hebbelynck, il revient, mot pour mot, à une mise en scène de texte intimiste et sans artifice. Au Théâtre des Martyrs jusqu'au 9 octobre.

Avec Dans la nuit, Coline Struyf signe une œuvre rare sur des héroïnes créatrices de mouvement, fondatrices de changement dans un conte fantastique et fantomatique. Le spectacle est à l’affiche du Varia jusqu’au 16 octobre.

Le Théâtre National avait choisi de nous présenter La Bombe humaine, de Vincent Hennebicq et Eline Schumacher. Un spectacle aussi intelligent que caustique sur l’effondrement et sur le manque de cohérence de nos luttes écologiques plutôt timides. Il n’est plus à l’affiche depuis quelques jours, mais ce n’est pas une raison pour ne pas parcourir notre chronique.

Le Théâtre des Tanneurs avait ouvert sa saison par la programmation de Philipot, un spectacle de la compagnie Fany Ducat. Par cette diatribe politique loufoque et parfaitement nouée, le collectif confirme son talent d’écriture contemporaine et nous a prouvé, une fois encore, toute l'originalité du théâtre.