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Moondog – Le Viking de la sixième avenue
Pour la plupart des gens qui le connaissent, le musicien américain Moondog sera toujours « le Viking de la sixième avenue ». Cette image de musicien outsider, qu’il a cultivée soigneusement, jouant dans les rues de New York des instruments de son invention, dans un costume de guerrier complet, avec lance et casque à corne, n’est qu’une facette du personnage. Sa vie et sa carrière, et par la même occasion sa discographie comprenant 800 pièces, 81 symphonies et près de 300 chansons sont extrêmement complexes et comportent plusieurs périodes distinctes. Les premiers faits marquants de sa vie sont sa découverte de la musique amérindienne, à la fin des années 1920 lors d’une visite faite, enfant, avec son père à la réserve des Arapahos du Wyoming. La seconde est l’accident qui le rendit aveugle à l’âge de 16 ans lorsqu’un bâton de dynamite lui explosa au visage. En 1943 il s’installe à New York et se lie d’amitié avec des musiciens classiques comme Leonard Bernstein et Arturo Toscanini, et de jazz comme Charlie Parker et Benny Goodman. Sa carrière musicale commence en 1947 lorsqu’il abandonne son nom de baptême, Louis Thomas Hardin, pour se faire appeler Moondog, et commence à jouer dans la rue. Lire la suite
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Midis Musicaux : Jazz Trumpet Legends
Durant l'année académique, ULB Culture propose, en collaboration avec le Conservatoire royal de Bruxelles et PointCulture ULB, des MIDIS MUSICAUX. Lire la suite
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Bebop (1945)
Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, le bebop émerge de manière fulgurante à l'image de ce qu'il est : un style vif et véloce. Caractérisé par des formations réduites (quartet et quintet) il rompt avec les big bands et les conventions du swing, principalement parce-qu'il n'est plus une musique de danse mais une musique d'écoute. C'est le moment charnière qui voit le jazz basculer de l'ère dite classique vers une certaine modernité. Sous la houlette principale de deux musiciens, le saxophoniste Charlie Parker et le trompettiste Dizzy Gillespie, ce style très influent donnera une impulsion déterminante, un nouveau souffle, sur le jazz à venir. Lire la suite
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Dizzy Atmosphere | une playlist
La trompette be-bop et afro-cubaine de Dizzy Gillespie. Lire la suite
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Du son sur tes tartines : Dizzy Atmosphere
La trompette be-bop et afro-cubaine de Dizzie Gillespie. Du son sur tes tartines, le rendez-vous musical hebdomadaire de l’ULB. Ramenez votre lunch, nous nous occupons du décor musical et du café ! Lire la suite
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Du son sur tes tartines : Bebop. Séance d’écoute commentée par Hugues Warin
Chaque mercredi midi de 12h30 à 13h30, l’équipe de PointCulture ULB vous offre une heure de découvertes musicales, parfois des concerts live, du café et du thé, dans une ambiance très conviviale. Du son sur tes tartines est LE rendez-vous musical […] Lire la suite
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Latin Jazz (1942 - )
Le latin jazz (expression anglaise) est le nom donné à la musique qui combine des rythmes latino-américains (d’origine africaine, rappelons-le, en bonne partie) avec des harmonies et structures de morceaux jazz des États-Unis. Le terme, inventé par le trompettiste Jerry Gonzalez dans les années 1960, désigne cette musique qui prend racine début des années 40. Deux courants principaux se distinguent : d'une part (et dans un premier temps) l'influence de la musique des caraïbes, cuba en tête (avec la salsa, le merengue, le mambo, le songo et le cha-cha-cha), et d'autre part (et dans un second temps) l'influence de la musique sud américaine brésil en tête (avec la bossa nova et la samba). D'une manière générale le latin jazz sera une musique enjouée, festive et dansante, reposant sur des rythmes spécifiques et propres aux courants susmentionnés, exécutés sur des tambours sur fût (congas et bongos principalement), repris par la section rythmique de l'orchestre jazz, le tout avec colorations de petites percussions à main, claves, maracas et shakers entre autres. Cette base rythmique constituera l'appui de l'orchestration voyant les sections de cuivres, trompettes en particulier, jouer de manière appuyée "en surpression" avec beaucoup de vigueur. Le principal initiateur sera le trompettiste Dizzy Gillespie, et son cubop, contraction de "cuban" et "bebop". Lire la suite
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Max Roach
MAX ROACH : UN DES PÈRES DU BE-BOP S'EN EST ALLÉ, LE 17 AOÛT, À L'ÂGE DE 83 ANS. Lire la suite
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BLACKMAGIC
Partagé entre son amour du jazz « cool » et un désir non feint de surprendre, José James délivre un album soul craquant au-dessus et délicatement moelleux à l’intérieur. L’arme fatale des cœurs (à) brisés(r) ? Lire la suite
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Hard-bop
Au milieu des années 50, à la mort de Charlie Parker, le bebop s'essouffle d'une part, et d'autre part une grande partie des musiciens noirs ne s'identifient pas à l'énergie, jugée trop lénifiante, du jazz West Coast. De cet entre deux va émerger le hard-bop, un style qui renoue avec un feeling propre à la communauté afro-américaines, le blues. C'est en somme la résultante de deux mondes qui s'affrontent alors, l'Amérique à l'époque est encore sous le joug d'une forte ségrégation raciale, avec d'un côté les blancs issus d'une tradition classique de compositeurs-arrangeurs qui s'alignent derrière le West Coast (incluant aussi des musiciens noirs...), et de l'autre les noirs qui se rallient au hard-bop plus en phase avec leur identité (incluant aussi des musiciens blancs...). Il en découle une nébuleuse de musiciens, noirs et blancs confondus donc, qui se revendiqueront de près ou de loin acteurs de cette mouvance. Le hard bop est de manière générale caractérisé par une énergie accrue, appuyée surtout par un jeu puissant de la batterie. Lire la suite